Résumé : Conserver Starborough Castle est devenu un luxe que Sir Richard et Lady Mary ne peuvent plus se permettre. Ils se voient dans l'obligation de vendre. Un acheteur s'est présenté, un Américain qui se propose de transformer le château en musée. La solution est digne du passé de cette demeure qui accueillit pendant cinq siècles les roi d'Angleterre avant d'être cinq autre siècle la résidence des Sedgeley.
Ce que n'avaient compris ni Sir Richard, ni Lady Mary, c'est que John Blayne veut transporter le château pierre par pierre aux Etats-Unis. Rompre les pourparlers en criant au sacrilège est leur première réaction, mais comment trouver l'argent nécessaire ? A moins de dénicher un trésor par quelque miracle - un miracle que Lady Mary va implorer des hôtes invisibles de la maison. Est-elle folle ou les fantômes existent-ils ? De curieux incidents se produisent à la suite desquels John Blayne a bonne envie de laisser tomber l'affaire.
Seulement il y a Kate, la mystérieuse jeune fille au statut mal défini, si aimée des Sedgeley, si attachée à les défendre. A cause du mystère Kate, John restera pour affronter les fantômes et les secrets de la vieille demeure.
Death In The Castle - Pearl Buck - 1965
Le Livre de Poche - 314 pages
Contemporain
Mon avis :
Pearl Buck est une femme de lettre américaine, grâce à ses parents missionnaires, elle est amenée très tôt à vivre en Chine. Elle a reçu le Prix Pulitzer en 1932 pour son roman « Terre Chinoise ». Elle reçoit en 1938 le Prix Nobel de littérature pour l’ensemble de son oeuvre. Elle a signé certain de ces romans sous le nom John Sedges.
J’ai découvert cette auteure vraiment par hasard, avec le roman « Le Roi Fantôme ». C’est un livre que j’ai trouvé à une bourse, la couverture et le titre du livre m’ont tout de suite interpellé. Malgré l’ancienne édition qui ne propose pas de résumé en 4e de couverture, j’ai eu un coup de cœur pour l’apparence du livre.
Lire ce livre a été une bonne découverte pour moi ! Autant au niveau de l’écriture que de l’histoire. Cette dernière est poussée et complète, on sent un réel travail de réflexion derrière celle-ci. Les mystères sont conservés et poussés dans leur retranchement à la dernière minute. L’auteure nous promène dans son œuvre, nous empêchant de voir clairement dès le départ.
L’histoire même l’ancien et le moderne, les fantômes et l’avenir sur tous les plans. Le Nouveau Monde et l’Ancien Monde, des personnes qui semblent bloquées dans leurs passés et d’autres qui les admirent au vu de leur modernité et du dépaysement que ces anciens personnages produisent sur eux. Le livre finit par faire fusionner ces deux mondes, mais je n’en dirais pas plus de peur de trop en découvrir !
J’ai aimé aussi l’aspect du livre qui fait que l’on oscille entre psychologie et fantastique. On ne sait jamais vraiment si les fantômes sont réels ou sont des créations de personnes qui les font vivre au travers de leur corps grâce à leur folie.
Comme je le disais, l’écriture a aussi été une bonne découverte pour moi, elle est entrainante et très agréable à lire. Le défaut que j’aurais à trouver et plus sur la forme que sur le fond. En effet, le livre est en deux parties, mais cela ne semble vraiment pas nécessaire au moment de la lecture. Cette séparation a même pour effet d’y mettre une pause qui n’est pas forcément judicieuse.
Au final, je suis très heureuse d’avoir pu découvrir Pearl Buck. Après des recherches sur elle, j’ai découvert une femme de talent, qui a été raillé aussi bien qu’apprécier, mais qui laisse une œuvre conséquente derrière elle. En 2013, un dernier ouvrage retrouvé par sa famille a été publié « L’énigme éternelle ». C’est avec plaisirs que je lirais d’autres de ces œuvres (si je les trouve), d’après mes recherches les livres n’ont pas été réédités depuis leur première sortie en France.
J’ai découvert cette auteure vraiment par hasard, avec le roman « Le Roi Fantôme ». C’est un livre que j’ai trouvé à une bourse, la couverture et le titre du livre m’ont tout de suite interpellé. Malgré l’ancienne édition qui ne propose pas de résumé en 4e de couverture, j’ai eu un coup de cœur pour l’apparence du livre.
Lire ce livre a été une bonne découverte pour moi ! Autant au niveau de l’écriture que de l’histoire. Cette dernière est poussée et complète, on sent un réel travail de réflexion derrière celle-ci. Les mystères sont conservés et poussés dans leur retranchement à la dernière minute. L’auteure nous promène dans son œuvre, nous empêchant de voir clairement dès le départ.
L’histoire même l’ancien et le moderne, les fantômes et l’avenir sur tous les plans. Le Nouveau Monde et l’Ancien Monde, des personnes qui semblent bloquées dans leurs passés et d’autres qui les admirent au vu de leur modernité et du dépaysement que ces anciens personnages produisent sur eux. Le livre finit par faire fusionner ces deux mondes, mais je n’en dirais pas plus de peur de trop en découvrir !
J’ai aimé aussi l’aspect du livre qui fait que l’on oscille entre psychologie et fantastique. On ne sait jamais vraiment si les fantômes sont réels ou sont des créations de personnes qui les font vivre au travers de leur corps grâce à leur folie.
Comme je le disais, l’écriture a aussi été une bonne découverte pour moi, elle est entrainante et très agréable à lire. Le défaut que j’aurais à trouver et plus sur la forme que sur le fond. En effet, le livre est en deux parties, mais cela ne semble vraiment pas nécessaire au moment de la lecture. Cette séparation a même pour effet d’y mettre une pause qui n’est pas forcément judicieuse.
Au final, je suis très heureuse d’avoir pu découvrir Pearl Buck. Après des recherches sur elle, j’ai découvert une femme de talent, qui a été raillé aussi bien qu’apprécier, mais qui laisse une œuvre conséquente derrière elle. En 2013, un dernier ouvrage retrouvé par sa famille a été publié « L’énigme éternelle ». C’est avec plaisirs que je lirais d’autres de ces œuvres (si je les trouve), d’après mes recherches les livres n’ont pas été réédités depuis leur première sortie en France.
Je connaissais pas non plus :0 je verrais si je tombe dessus !
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